Message sans bouteille

Je suis un naufragé des Éditions de la Chaloupe, vaisseau pirate froissé. Je flotte comme un homme à mer. Glouglou.

Coucou !

Willkommen !

coucou coucou

Les Editions de la Chaloupe, ha ha ha, bonjour bonjour

bienvenue

Sachez que je suis déçu qu'on ne m'ait pas accueilli paranormalement! Il y a tant d'Épikidistes (oui, parfaitement, un É majuscule; j'ai des pouvoirs magiques) en ces cyberlieux  que ma soucoupe de volition volante aurait cru qu'on me ferait un signal obscur. AINSI, J'OUBLIAI PRESQUE DE RÉPONDRE SOBREMENT, AVEC UN CHAT DANS LA GORGE : « Il est trop tôt pour ouvrir ses yeux de lynx, mais bonjour. »

Voyez, je dis n'importe quoi : »Vielen Dank für's Willkommen.«

Bon, chut, arrête de parler avec des croustilles dans la bouche.

c'est chiant

coucou coucou

ha ha ha
toujours fidèle à toi-même

Bien sûr. Je fais preuve de cohérence interne. Je vais avoir du mal à t'appeler « Bisou » par contre.

Au fait, il est de qui, ton avatar? Il me fait penser à un cycle de Rudolf Schäfer intitulé Der ewige Schlaf. Visages de morts.

Yo, Constantine. Amateur de bandes dessinées (le pseudo, c'est une référence à John Constantine?)?

la cohérence interne chez les arbrisseaux une fois qu'ils atteignent l'âge adulte, c'est quelque chose dis donc

c'est l'inconnue de la seine
tu es un peu dans le vrai tu sais, puisque c'est un moulage mortuaire

Ah oui! Je me souviens d'avoir lu un texte là-dessus. Enfin, pas là-dessus, mais qui y fait référence. Alfred Döblin en parle dans Von Gesichtern, Bildern und ihrer Wahrheit (en français : Des visages, des images, en vérité), qui est en fait l'introduction du premier livre de photographie d'August Sander. Döblin y théorise, ce qui, pour lui, constitue une bonne approche photographique. Il loue le travail de Sander, car il estime que ce dernier se sert de son appareil pour effectuer un portrait sociologique de l'Allemagne. Döblin considérait la photographique comme un médium documentaire, il me semble­.

Blablabla (ça n'intéresse personne).

Hallöchen

J'avais répondu aux douces paroles de Désapprobation, mais le ministère de la vérité est passé par là.

Sonst wünsche ich Ihnen einen schönen Abend, blühende, lyrische Frau Liritscheskaja. Ich glaube, es sieht besser im Russischen aus. Es ist komisch, ein Adjektiv zu transliterieren, wenn man die Sprache nie gelernt hat.

Ouais, bon, je vouvoyais pour la forme, hinhinhin.

c'est une référence à personne

Ok. Cela est tout aussi bel et bon.

Bienvenue !

yô

plop

Yo, Rodé. C'est quoi, ce sourcil en flèche pointant vers le ciel?

Circius me prend pour une bulle de savon. Les champignons (? probablement autre chose) ont vraiment des gueules ahuries.

Youpladi.

Je ne suis pas si agressif que je t'éclaterais à vue, si tel était le cas. Attends... je crois bien que si. J'adore regarder les bulles de savon, et éclater celles qui m'ennuient ! Ce ne sont pas des champignons, mais des kodamas ! Ils restent très bons en omelette, si vous réussissez à en attraper.

Tant d'animosité envers ma personne! Mais ça va. Je me donne aussi parfois des envies de violence sans être une bulle de savoir alors ça se comprend. Quant aux esprits des arbres, t'es malade, je les boufferai jamais, même pas en omelette (et j'aime les omelettes). Ça mériterait presque une délation et des coups de fouet, tsk, tsk. Hinhinhin.

J'aime pas trop les délations, je trouve ça faible, par contre au fouet tu peux y aller fort

Mon intransigeance clanique s'est exprimée, je suppose (tu pouvais pas savoir, mais j'étais une branche dans une autre vie; entre parents, parfois, on se sert les coudes). Bref, puisque tu me le demandes si gentiment :

« Brünnschwigg (déguisé en branche; fouettant Circius) : Tsk, tsk. »

Voilà.